Abbigail Coven Zeta Beta Zeta ZBZ
Messages : 33 Date d'inscription : 16/12/2009
| Sujet: Say Say Say {David Mer 30 Déc 2009, 17:06 | |
| La journée de la ZBZ commençait haute en couleur. Tout d’abord réveillée en sursaut par une horde de bizuts ayant fais éruption dans sa chambre céleste, elle avait accouru vers le point d’agitations et découvrit un garçon dans une des chambres. Le pauvre gars apeuré avait glissé vers les escaliers. Casey était déjà là et avait prié au garçon de partir, brusquement aidé par l’employé de sécurité du pavillon. Ce dernier avait ensuite reprit son calme après la disparition de l’intervenant et un conseil eut lieu pour juger la demoiselle coupable d’avoir fait rentrer un garçon dans le temple des bonnes mœurs et de la délicatesse féminine sur ce campus. Prenant le temps de s’habiller, elle alla en cours comme habituellement et comme tout vendredi soir, elle accompagna les ZBZ au Dobler. Soirée plus usuelle, elle commanda une limonade pour débuter en douceur et s’assit sur une des tables VIP du bar. Ses coéquipières avaient déjà trouvé leur place dans les bras d’Omega Chi ou de Kappa Tau, mais Abbigaïl n’était pas du genre à aller se frotter à n’importe qui juste parce que nous sommes vendredi soir. La demoiselle jeta un coup d’œil rapide au téléviseur posté dans le coin du bar. Son regard fut attiré sur un clip qui défilait, faisant vibrer les auditeurs sur une musique rythmée. C’était une chanson plus toute jeune, de Paul McCartney & Michael Jackson, nommée Say, say, say. Tapant en rythme ses escarpins sur le sol, elle le se leva et s’approcha du bar pour mieux voire et être vue. Habillée d’un jean clair slim, d’un débardeur noire et d’un veste de tailleur grise, elle faisait assez classe et décontractée à la fois. Se retournant vers ses camarades quelques peu occupées, elle eut un pincement au cœur d’être soudain si seule. Pensant néanmoins que la télé était un bon accompagnement, elle reposa ses yeux sur Paul et Michael, dansant comme des clowns et chantant sur une carriole. Elle rit toute seule de leurs accoutrements multiples et posa son verre désespérément seul et vide sur le comptoir, fixant l’intérieur de celui-ci comme si une phrase en lettre d’or y était marquée.
| |
|