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 David Marlowe [sans opinion]

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2 participants
AuteurMessage
David Marlowe
Omega Chi Delta ΩXΔ
David Marlowe


Messages : 13
Date d'inscription : 19/12/2009
Age : 38

David Marlowe [sans opinion] Empty
MessageSujet: David Marlowe [sans opinion]   David Marlowe [sans opinion] Icon_minitimeSam 19 Déc 2009, 13:58

UN PETIT PEU DE VOTRE PERSONNAGE:
■ Nom&Prénom: MARLOWE, David Frederick Christopher
■ Age: 25 ans
■ Nationalité: Britannique
■ Sororité/Fraternité/Activités/Sans idées: [Bizut]
■ Métier (éventuel): /


IL Y A LE CORPS ... :
■ Apparence:
Habillé, David fait assez pâle figure. Sa silhouette paraît délicate, presque fragile. Mais si, pour une raison ou pour une autre, il se retrouve torse nu, alors messieurs, attendez-vous à faire des complexes : abdos en tablette de chocolat (Lindt, c'est le meilleur !) biceps taillés au cordeau, pectoraux marqués... on ne tape pas dans Stalone ou Schwartzenegger, mais un gentil petit Johnny Weissmuller dans Tarzan souffrirait aimablement la comparaison et pourtant, Mr Crowley ne fout rien de toute la sainte journée. De taille moyenne (1m79-1m180), mince, la taille haute et marquée, il a une prestance indéniable. Bruns - ou plutôt d'un châtain très sombre tirant presque sur le noir - ses cheveux sont épais, abondants, assez souples, bien qu'il prenne grand soin de les lisser et de les tirer vers l'arrière. Livrés à eux-même, ils sont assez longs pour venir balayer son visage et le gêner, mais restent tout de même relativement courts. L'un de ses tics et autres gestes familiers est de replacer constamment une mèche rebelle qui s'obstine à venir balayer son front. David a de grands yeux d'un bleu très clair, un bleu de glace. Ils sont soulignés de cils très longs, de vrais cils de fille, très sombres, qui donnent à son regard l'air d'être maquillé. Ce qui n'est évidemment pas le cas. Son regard en lui-même est ironique, détaché, le regard assuré du play boy qui se sert de ses yeux pour séduire. Mais quand il est seul - ou qu'il se croit seul, alors, il devient grave, mélancolique, presque... mais oui ! Triste ! la forme générale de son visage est l'ovale, les pommettes sont hautes et marquées, le nez est droit, assez fin, les lèvres charnues, les traits dans l'ensemble agréables, la peau sans imperfection d'aucune sorte, le teint pâle. David est toujours rasé de près. On ne saurait d'ailleurs l'imaginer autrement... Sa peau claire bronze facilement, et quand il est hâlé, il est à croquer ! Son expression est au diapason de son regard : détachée, vaguement ironique, arborant un sourire indéchiffrable au coin des lèvres. Mais, comme son regard, son visage change quand il se croit seul, il se ferme, devient grave, triste, nostalgique. Mais dès qu'il a conscience d'une présence dans la même pièce que lui, il redevient en apparence l'irritant play boy qu'il veut qu'on croit qu'il est. David est un jeune homme élégant, aimant à porter des costumes et des vêtements sombres, et qui le mettent en valeur. Ni trop strict, ni trop relâché : pantalon sombre (jean ou pantalon de costume), en général noir, gris ou bleu marine, chemise ou chemisette et un pull par-dessus l'hiver. De temps à autre, une cravate, mais comme il ne les supporte pas vraiment, il la défait très rapidement, ou, au moins, en détend le noeud.
■ Signes particuliers: [s'il y a]
//


... ET L'ESPRIT. :
■ Personnalité:
Des qualités... On ne peut pas dire que David en ait tant que ça... Il peut faire preuve d'une loyauté indicible et, quand on a réussi à se frayer un chemin jusqu'à son coeur, c'est sans conteste le meilleur des amis : attentionné, dévoué, fidèle... C'est un garçon intelligent, avec un esprit vif, analytique, et il est toujours capable de justifier ses opinions par des raisonnements clairs, argumentés, précis ; déterminé, c'est un meneur d'hommes, qui a un charisme certain et une force de caractère peu commune. Mais à part ça... Il est d'une dextérité qui force l'admiration, et possède des qualités certaines d'orateur. Patient, discret, charmeur, imaginatif, doté d'une faculté d'adaptation effarante et une excellente mémoire, il sait utiliser ses atouts au bon moment pour satisfaire au mieux ses intérêts, et ne fait jamais rien à la légère, pèse soigneusement le pour et le contre avant de prendre une décision. Au final, ça commence à en faire pas mal !
David est quelqu'un d'extrêmement secret - encore que dans son cas, ce pourrait passer pour une qualité. Méfiant, dur et autoritaire, il n'accorde que très rarement sa confiance et se motre horriblement tyrannique envers ses subordonnés. Arrogant, impitoyable, voire cruel, c'est un égoïste, un menteur et un manipulateur, un séducteur invétéré qui accumule les conquêtes avant de s'en débarasser sans états d'âme. C'est un iconoclaste qui ne respecte rien ni personne, sinon les rares personnes qui ont forcé son admiration. Il est rancunier, sans scrupule, et utilise son imagination à mauvais escient. La loi du Talion est devenue sa devise. C'est un jeune homme vénal, parfois cynique, en tous cas qui ne fait rien si cela ne sert pas son intérêt. Il est capable de piquer des crises de rages tout à fait effrayantes les rares fois où il sort de ses gonds. Révolté, rebelle, doté d'un fort esprit de contradiction, il fait toujours le contraire de ce qu'on attend de lui et si une chose peut faire enrager son père, soyez certains qu'il la fera derechef ! Excessif, David a à peu près tout testé : alcool, fêtes, cigarette, drogues... Il a fini par s'en sortir après un bad trip et grâce au soutien des deux seules personnes dont il admette des remarques, Lenore et Elijah, mais demeure assez vulnérable encore.
David aime avant tout le pouvoir : décider, controler, manipuler, séduire, dominer... sans doute parce que pendant des années, chez lui, il a été complètement privé de tout contrôle sur sa propre vie. Il aime ce qui est beau, le luxe et le défi. Ne le mettez pas au défi de faire quelque chose, il le relèverait, rien que pour vous clouer le bec... Il aime le voyage et les femmes, accumulant les conquètes plus ou moins sérieuses - mais jamais ne s'aviserait de toucher à Lenore, la seule fille qu'il ne souhaite pas faire souffrir. Paradoxalement, il apprécie aussi le calme et la simplicité, quelques moments de solitude et la compagnie des quelques rares amis qu'il s'est faits. C'est un homme de l'ombre, qui aime se cacher. Guitariste de talent, possédant de surcroît une belle voix, il a découvert sous l'influence de Lenore le rock, le hard et le métal, trois genres qu'il apprécie beaucoup désormais.
Il déteste les petits amis jaloux et les femmes qui s'accrochent à lui quand lui a décidé que le jeu avait assez duré. Il n'aime pas non plus qu'on insiste lourdement sur son âge : oui, il a vingt-cinq ans et il repique sa troisième année de médecine, et alors ? De toutes façons, il ne voulait pas devenir médecin, mais acteur. Et il vous em*****. Il a une sainte horreur qu'on lui tienne tête : ça le met hors de lui, ce qui explique pourquoi, dans les premiers temps, il ne supportait pas Lenore. Mais, en même temps, combattre un adversaire sans répondant l'ennuie... Il ne supporte pas la pitié, qui le rend malade, presque au sens propre, qu'elle s'adresse à lui ou à d'autres. Enfin, notre ami est hémophobe. Ce qui peut-être gênant pour un médecin.


SON HISTOIRE, SA VIE
■ Liens:
Son meilleur ami : Elijah Crow, seize ans, gentil geek surdoué qu'il a rencontré au lycée. Quoique radicalement différents, les deux garçons s'entendent à merveille, David ayant pris l'adolescent sous son aile. Pour lui, Elijah est un peu le petit frère qu'il a perdu. Ils sont très proches et très complices.
Sa meilleure amie : Lenore Montague, 21 ans, son opposé presque exact, rencontrée elle aussi au lycée. Au départ, David ne supportait pas cette fille, issue d'un milieu très différent du sien, au franc-parler presque gênant, à l'univers et aux réactions si opposées aux siennes. Dès qu'ils se voyaient, les insultes et les sarcasmes volaient, quand ce n'étaient pas carrément les gnons. Pourtant, David ne pouvait s'empêcher de toujours la chercher pour l'emmerder, c'était son passe-temps favori. Mais à force de patience et de persévérance, Lenore a fini par l'apprivoiser. Figure quasi-maternelle, elle veille sur lui, prend soin de lui comme personne ne l'a jamais fait, s'inquiète pour sa santé, son moral. C'est elle surtout qui l'a fait décrocher. David ne pourrait plus se passer d'elle maintenant. En est-il amoureux ? Lui-même ne le sait pas bien... Une chose est sûre, si tel est le cas, ce n'est pas demain la veille qu'elle l'apprendra !
■ Histoire :
David est né dans la maison familiale de Londres le 20 février 1984. Fils aîné de l'ambassadeur Peter Marlowe et de son épouse irlandaise Deirdre, il a eu une enfance dorée, mais solitaire, entouré de domestiques, mais avec des parents toujours absents qui ne portent à leur fils qu'une attention distraite et toute relative.
Peter Marlowe est un homme très mondain, qui passe plus de temps à son cercle ou avec ses amis à la chasse que chez lui. Il court les femmes avec une impudeur choquante et délaisse la sienne depuis quelques années. Il n'a pour son fils que l'intérêt minimal. Pour lui, il n'est que l'héritier du nom. Il aura bien le temps de s'occuper de lui quand il aura fini ses études. Il ne voit pas que l'enfant ne demande qu'un peu d'attention et, à la place, le couvre de cadeaux tous plus coûteux les uns que les autres. Dur, froid, il n'admet pas la vocation théâtrale de David et le force à faire des études de médecine, qu'il déteste.
Deirdre Marlowe, née Cassidy est une femme d'une beauté indéniable, mais d'une dureté incroyable. Elle n'a pas voulu d'enfant et n'en a fait à son mari que par sens du devoir, consciente de la nécessité de fournir un héritier à cette longue lignée de nobles anglais. Elle-même est issue d'une vieille famille irlandaise, désargentée, mais noble. Elle n'a jamais aimé son fils qu'elle considère avec tout le mépris du monde. Elle n'aimera pas plus son deuxième fils, Patrick, mais sera en revanche folle de sa fille, Desdémone.
Patrick Marlowe, de deux ans le cadet de David, était sans nul doute son meilleur - et unique - ami. Les deux frères étaient extrêmement différents : David était excessif, colérique, piquant des crises de rages effrayantes, et ressentait douloureusement l'absence et l'indifférence de ses parents, dont il souffrait énormément ; à l'inverse, Patrick était calme, pondéré, assez froid, et semblait se moquer de son sort. En réalité, il était simplement bien moins démonstratif que son aîné, dont il enviait la spontanéité. Leurs différences ne les empêchaient pourtant pas d'être extrêmement proches...
Desdémone, en revanche, de six ans la cadette de David, est le portrait craché de sa mère : snob, dure, froide, poupée barbie péroxydée à douze ans et qui, sans aucun doute, se fera siliconer sitôt qu'elle aura atteint l'âge légal. David et elle s'ignorent superbement, sauf quand sa garce de petite soeur s'avise de venir fouiller dans ses affaires. Généralement, elle se prend une gifle, va se plaindre à sa mère, et David récolte un sermon et une punition. Dur.
Alors que Patrick et David grandissent seuls, dans la maison londonienne, entourés de domestiques, mais sans amis et ne voyant leurs parents que de loin en loin, Desdémone, elle, va voyager avec eux au gré des divers postes de leur ambassadeur de père. Dès l'âge de sept ans, David a fait son deuil de toute marque d'affection de la part de ses parents et s'est endurci à tout. Le temps des crises est passé. Tout au plus serre-t-il les poings quand il voit ses parents partir sans son frère et lui. N'ayant jamais rien connu d'autre, il a fini par se convaincre qu'il s'agit d'une situation normale dans une famille telle que la sienne.
Il a douze ans quand la famille quitte Londres pour suivre le père de David, en poste à Washington DC. Mrs Marlowe ayant décrété que la capitale américaine est d'un ennui mortel, exige de s'installer à New York, indifférente au fait que son époux sera absent la plupart du temps. La famille emménage donc dans une maison de l'Upper East Side et les enfants entrent dans une école privée au prix exorbitant. Une école où David s'ennuie à mourir. Le jeune britannique ne se fait pas d'amis dans cette institution où la plupart des élèves sont encore plus snobs que sa mère - et pourtant, faut le faire - et lui font de toutes façons comprendre qu'il n'est pas le bienvenu.
L'année suivante, c'est le drame - si j'ose employer une expression aussi éculée. Patrick, âgé de onze ans, est enlevé dans sa chambre dans la maison de New York, alors que sa famille au grand complet s'y trouve et dort dans les chambres alentours. C'est David, réveillé par un bruit anormal venant de la chambre de son frère, qui découvre sa disparition et la demande de rançon, clouée au mur. Il réveille avec peine ses parents, et l'ambassadeur s'empresse de téléphoner à la police, malgré la menace clairement exprimée dans la lettre. Lorsque les ravisseurs contacteront la famille pour fixer les conditions, l'ambassadeur refusera fermement et catégoriquement de payer. David, révolté, s'efforce de le raisonner... en vain. Deux semaines plus tard, un colis est livré à la demeure des Marlowe. C'est le corps de Patrick, "en pièces détachées", ainsi que l'avaient promis les ravisseurs. La police ne put jamais mettre la main sur eux.
De ce jour, David entre en guerre ouverte avec sa famille. Il ne pardonne pas à son père d'avoir laissé mourir son frère, de n'avoir rien fait pour le sauver. Quant à sa mère et sa soeur, il ne les supporte tout simplement plus. Désormais, David se rebelle, accumule les actes idiots, fréquente les personnes les moins fréquentables, devient bagarreur, se met à fumer, à boire... ses notes sont en chute libre, il sèche allègrement les cours, se fait renvoyer de son école, puis d'une deuxième, d'une troisième...
Il a dix-sept ans et trois ans de retard quand il entre dans son "lycée de la dernière chance", le dernier avant d'être envoyé en institution en Angleterre. Il est déjà gros fumeur, fêtard invétéré, dom juan avéré, et commence les drogues plus ou moins douces. C'est là qu'il fait la connaissance d'une fille qui, d'autorité, l'horripile. Lenore Montague, quatre ans de moins que lui, un an d'avance, et tout ce qu'il faut pour qu'il la déteste : elle est intelligente, cynique, insolente et dotée d'un bon sens qui n'a d'égal que sa brusquerie. Est-elle jolie ? Aucune importance. David ne peut pas la sentir et se met à l'attaquer sur tous les points possibles et imaginables. C'est en quelque sorte la seule chose qui amuse vraiment le jeune et à laquelle il tienne : son conflit permanent avec elle, cette bataille de chaque jour, ces échanges acides et ces horions qui volent parfois bas. Lenore sait se battre, David en a fait les frais plus d'une fois. Mais il continue malgré tout à chercher la petite bête, parce que ces bagarres, ce sont les seuls contacts réels qu'il ait. Car David est en réalité très seul. Il ne se confie jamais, s'abrite derrière une attitude hautaine, cassante, méprisante - l'attitude qu'il pense qu'on attend de lui. Et si, pour avoir le sentiment d'être vivant aux yeux de quelqu'un, il faut qu'il s'en fasse haïr, alors soit !
Sauf que... sauf qu'il y a Elijah. Elijah Crow, le surdoué, de presque dix ans son cadet, Elijah Crow, débarqué tout droit de son Nevada natal, orphelin, pupille de la nation, dont la silhouette frêle et l'attitude effacée trahissent des années de mauvais traitements. Elijah qui lui rappelle tellement son frère... David s'attache à ce gamin, prend l'habitude de le défendre. Et s'aperçoit que son ennemie aussi le défend, envers et contre tout, et parfois allant jusqu'à faire le coup de poing pour le protéger. A plusieurs reprises, ils doivent s'allier pour lui. Et David apprend à mieux connaître et comprendre la froide Lenore par l'intermédiaire d'Elijah. Et lorsqu'un jour elle se retrouve en difficultés, c'est lui qui vient l'aider, arguant que lui seul a le droit de s'en prendre à elle.
Pas dupe, Lenore l'invite en remerciement à prendre un verre au bar de son père. Et là, David se retrouve dans un univers complètement différent du sien. Charles, le père de Lenore, le fascine. Bien plus jeune que son propre père, c'est un homme calme, pondéré, chaleureux et caustique, un guitariste émérite. Veronika, la tante, est plus brusque, plus directe, et nul doute que c'est d'elle que Lenore tient plusieurs traits de caractère, mais c'est une femme pleine de bon sens et qui se dégèle un peu au fil de la soirée. David se sent bien dans cette atmosphère. Et visiblement Elijah aussi, puisqu'il finit par s'endormir sur les genoux de Lenore... "Si jamais t'as envie, un jour, de revenir boire un verre, n'hésite pas..."
Il reviendra. Souvent. A côtoyer l'univers de Lenore, il la comprend mieux. Il la déteste moins. Il se prend même à apprécier sa lange acérée, son regard noir et calme, la manière qu'elle a de se taire et de laisser le silence s'installer. C'est là, dans le fond du bar, tard dans la soirée, alors qu'Elijah la tête sur les genoux de l'adolescente, dort à poings fermés, agrippant la main de Lenore comme on agrippe la dernière branche qui vous sauve de la noyade, que David va se livrer pour la première fois. Lenore ne dit rien. Elle le laisse vider son sac, faire exploser sa rancoeur et sa colère, exprimer sa peine et ses peurs, silencieuse, ses yeux noirs fixés sur lui. Mais, lorsqu'il a fini, alors qu'il lutte pour retenir ses larmes et ses sanglots, elle lui tend sa main libre et l'attire sur son épaule. D'abord réticent, il finit par se laisser faire et pleure jusqu'à épuisement. Et même quand enfin il se calme, il ne parvient pas à s'arracher à la torpeur qui l'a envahi et demeure longtemps immobile la tête sur l'épaule de Lenore.
Pendant quelques semaines, il craint qu'elle raconte ce qu'il lui a confié... mais elle garde le silence. Alors, il lui donne toute sa confiance et son amitié. Depuis, tous trois sont inséparables. Les années passent. David décroche son diplôme sans honneurs, mais sans problème non plus. Aucune université ne veut de lui, son père joue de son influence pour lui obtenir une place dans plusieurs universités... Mais David veut Cyprus Rhodes. Pourquoi ? Parce que c'est l'université de Lenore et qu'il n'accepte d'aller à l'université que s'il peut être avec Lenore et Elijah. Son père, excédé, finit par céder, à condition qu'il fasse médecine. David ne veut pas, mais n'a pas le choix. C'est ça ou le retour en Angleterre. Il cède à son tour. Etudiant rien moins que brillant, décidé à foirer ses études pour user la patience de son père et pouvoir faire la carrière qu'il veut, acteur, il apprend au passage la guitare et forme avec Lenore à la basse ou au clavier et Elijah à la batterie un petit groupe sympa qui joue parfois pour des soirées privées histoire d'arrondir les fins de mois. Il y a deux ans, ayant commencé à fréquenter des gens pour le moins peu recommandables, il a commencé à s'adonner à la cocaïne. Malgré les avertissements et supplications de Lenore et Elijah, il gardera cette addiction pendant un an et demi, avant de faire un "very bad trip" qui manque de le laisser sur le carreau. Sa chance a été de faire cette crise en la présence de ses amis, qui ont pu appeler les secours. Il a ensuite suivi une cure de désintoxication sévère.
Il vient de sortir de l'hôpital, guéri d'après les médecins. Il doit à présent reprendre sa troisième année foirée et reste sous anti-dépresseurs et sous la surveillance d'un thérapeute. Le soutien de ses amis lui a été et lui est encore d'un grand secours, et surtout ils ont réussi à dissimuler à l'Université les vraies raisons de son hospitalisation... Sa vie sociale n'est pas encore totalement ruinée !
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Case'
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Case'


Messages : 68
Date d'inscription : 05/12/2009

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MessageSujet: Re: David Marlowe [sans opinion]   David Marlowe [sans opinion] Icon_minitimeSam 19 Déc 2009, 19:18

Etant une habituée de ce genre de fiche, je ne m'attendais pourtant pas être encore surprise par cette si jolie plume qui m'en a déja fait voir beaucoup ^^
Je te souhaite la Bienvenue David. J'espère que tu te sentiras à l'aise sur le campus, et au sein de ta Fraternité : les Omega Chi Delta. C'est un privilège, tu as toutes les qualités requises et les défauts qu'on note chez eux. Bon courage & Bon rp !
La fiche est validée Smile
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